2025 - New England HOOLIGANS
- ShaddX

- 4 août
- 2 min de lecture

Implantés au cœur de Boston, les New England HOOLIGANS incarnent l’âme ouvrière et contestataire de la KFL. Fondée en 2018, la franchise s’est rapidement imposée comme une force brute, rugueuse et fièrement populaire. Ici, pas de paillettes ni de politique de l’image : le football est un combat, et chaque match une révolte.
Affichant désormais une valeur estimée à 7 Md$, la franchise est aujourd’hui l’une des rares à être titrée. Deux sponsors emblématiques de la région, "Gillette" et "TripAdvisor", accompagnent fièrement la franchise. Ils participent à ancrer encore davantage les HOOLIGANS dans leur territoire, entre tradition industrielle et rayonnement international.
Les couleurs du club, jaune, gris et blanc, symbolisent à la fois la rouille, l’acier et la lumière des docks. On ne joue pas chez les HOOLIGANS pour briller. On y vient pour s’imposer. C’est une mentalité, une culture, un héritage.

Leur cri de ralliement, "No Mercy !", n’est pas qu’un slogan : c’est une déclaration d’intention lancée à pleine voix depuis les gradins du Bon Jovi Stadium.
Situé dans le quartier industriel sud de Boston, le stade des HOOLIGANS est une forteresse métallique à l’image de ses habitants. Brut, fonctionnel, sans détour, il résonne au rythme des chants rauques des Dockside Hools, un groupe de supporters bouillants, réputé pour transformer chaque rencontre en brasier sonore. C’est dans cette ambiance électrique que les HOOLIGANS forgent leur domination.

La mascotte officielle, Scrap, est devenue un emblème à part entière. Ce personnage aussi attachant qu'intimidant, représente parfaitement la franchise populaire de Boston. Figure rebelle du club, il incarne également l’identité du collectif : sans concession, sans filtre, mais profondément fidèle à ses racines.

Au sein de la Conférence Est, les Hooligans s’érigent en rempart, en bastion. Une équipe à affronter avec courage, et à craindre avec respect. Dans les ruelles de Boston comme sur la pelouse du Bon Jovi Stadium, on le dit partout : le peuple a pris le pouvoir et il ne le rendra pas. Pas de pitié !








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